Cartes postales
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Toponymie
Le nom en breton de la ville est Gwengamp, sans doute issu de gwenn “blanc” ou “béni” au sens figuré, et kamp (latin campus) “champ”.
Le sens étymologique serait donc “champ blanc”, peut-être “champ ou domaine laissé en friche”.
De nombreux tumulus et dolmens paléolithique, néolithique et de l'âge du bronze sont présents dans le pays guingampais (Trésor de Kérivoa [archive]). La ville est toute proche de la voie romaine allant à Vorguim, passant notamment à Saint Adrien et Plésidy.
Moyen Âge
Les fouilles menées par Laurent Beuchet dans le château de Guingamp ont mis en évidence les trois châteaux construits successivement sur le même site.
Un premier château, construit vers 1030 sur une motte féodale circulaire, était entouré d'un fossé d'une profondeur de 5 m creusé dans le rocher. Les bâtiments étaient en bois, de même que la tour-porte rectangulaire reposant sur six poteaux qui en défendait l'entrée.
Un second château, construit en pierre, est édifié au XIIe siècle. Son mur d'enceinte est polygonal ; les angles en sont renforcés de contreforts, selon un modèle alors très courant dans les domaines des Plantagenêt.
Un troisième château est construit au milieu du XVe siècle, de plan carré avec d'imposantes tours circulaires aux quatre angles, adaptées à l'artillerie de l'époque. Ce troisième château est resté inachevé : les tensions existant alors entre le duché de Bretagne et le royaume de France obligent le duc François II de Bretagne à privilégier les châteaux situés à l'est aux marges de son duché, comme Dinan, Fougères ou Nantes. Blason
Fascé d'argent et d'azur de quatre pièces.
Commentaires : Les armes sont celles de la Frérie Blanche. Elles sont incrustées depuis le XIVe siècle au fronton d’une fenêtre de la basilique Notre-Dame de Bon-Secours, au-dessus et à gauche de la Porte-au-Duc. Le même blason figure sur les véhicules municipaux ainsi que sur les plaques indiquant le nom des rues. Mais il existerait une variante hypothétique remontant à l’année 1447 décrivant le blason d’argent à une fasce d’azur et un chef de même. JP
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Origine
Au IVe siècle, Latinius, un propriétaire romain, a donné son nom à la future agglomération Latiniacum, domaine de Latinius. Recevant d'Erchinoald une partie du territoire, Fursy de Péronne, moine irlandais, bâtit en bord de Marne, sur la villa Latiniacum de Clovis II et Bathilde, au VIIe siècle, un monastère, l'abbaye Saint-Pierre, à partir de laquelle se forment la bourgade puis la ville actuelle de Lagny.
Ravagée par les Vikings au IXe siècle, l'abbaye Saint-Pierre est au Xe siècle un amas de ruines. Elle est relevée de 990 à 1018 par le comte de Meaux et Troyes Herbert IV de Vermandois dit le Jeune et son fils Étienne Ier. En 1019, le nouveau monastère, d'obédience royale, est consacré en présence de Robert II de France et la seigneurie de Laigny (dénomination populaire de la bourgade) est rétablie.
Mystères de l'abbaye Saint-Pierre
L'abbaye renferme deux mystères. Le clou de la croix - Le blason de la ville comporte un clou. Il s'agit de la pointe d'un des clous de la croix du Christ, remis par le roi Robert II de France vers 1019 à l'abbaye, lors de l'inauguration de la nouvelle abbatiale renaissant du pillage viking. Cette relique disparut lors du pillage du monastère par les calvinistes en 1567 ; l'épée de Jeanne d'Arc - Jeanne d'Arc est passée deux fois à Lagny-sur-Marne : en septembre 1429 et au printemps 1430, après le sacre de Reims. Lors de ce second passage, qui s'étendit sur un bon mois, la Pucelle accomplit un miracle, dans la chapelle des Ardents de l'abbatiale, sur lequel s'appuieront les autorités catholiques pour sa canonisation : elle ressuscite un enfant mort depuis trois jours, pour lui permettre de recevoir le sacrement du baptême. C'est près de Lagny dans la prairie de Vaires-sur-Marne qu'elle livre alors le dernier combat, victorieux, de sa jeune et fulgurante carrière (1429-1431). Lorsqu'elle quitte Lagny (vers Pâques 1430), Jeanne d'Arc s'y défait de six épées. L'une d'elles, l'épée de Sainte-Catherine-de-Fierbois, que la tradition présente comme étant celle que portait Charles Martel à la bataille de Poitiers en 732 équipait symboliquement la Pucelle à la demande de ses voix dès le début de sa mission officielle contre l'Anglais : elle l'arbore toujours à Lagny jusqu'à l'instant où elle apprend par ses voix (Michel l'Archange, Catherine d'Alexandrie et Marguerite d'Antioche Vierges Martyres, saints du pays lorrain), sur les fossés de Melun, que son destin va la livrer bientôt à l'Anglais. Atterrée par la nouvelle, qu'elle garde pour elle, la Pucelle, de retour à Lagny, ceint avec ostentation sa plus belle épée, celle de Vaires-sur-Marne, qu'elle a prise au chef de bande vaincu, Franquet d'Arras, et poursuit la route de sa destinée vers Compiègne (mai 1430) où elle va être prise et Rouen (mai 1431) où elle va être jugée et brûlée vive.
L'épée de la Pucelle, celle de Fierbois, jugée désormais inutile et d'ailleurs endommagée, aurait été, dit la légende, laissée à Lagny et remise par Jeanne d'Arc à une autorité de l'abbaye Saint-Pierre qui l'aurait fait enfouir dans un souterrain situé sous l'abbatiale ou murer dans un pilier de la chapelle de la Vierge-des-Ardents : telle serait l'opinion gratuite d'un auteur latignacien, Marcel Pouzol. En fait, nul ne sait ce qu'il est advenu d'elle : la Pucelle, prise par l'Anglais, dira l'avoir laissée à la garde de ses frères eux-mêmes qui l'accompagnaient et s'occupaient de l'intendance (chevaux et équipements de combat) et de l'avoir de leur sœur et, depuis, on n'a plus trace de l'épée de Fierbois, sa vieille compagne de mêlée15.
Héraldique logotype et devise
Le blason de la ville date de 1523. Le blason de Lagny-sur-Marne se compose de trois éléments. La lettre "L", qui est la première initiale du nom de la ville, le "Clou" de la Passion du Christ, offert à l'abbaye Saint-Pierre par le roi Robert le Pieux, aux alentours de 1019, la "Couronne Royale", marquant le rattachement de la ville au domaine royal à partir du XIIIe siècle.
Les armes de Lagny-sur-Marne se blasonnent ainsi : D’azur à la lettre L gothique d’or à dextre, au clou du même à sénestre, le tout couronné de couronne royale ouverte, aussi d’or.
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Le site de Montauban
Le site de fondation initiale de la ville est délimité sur trois côtés par des cours d'eau : le Tarn à l'ouest, le Tescou au sud-ouest (jusqu'au confluent avec le Tarn) et le ruisseau de la Garrigue (la Mandoune) au nord-est (jusqu'au confluent avec cette même rivière).
Au sud, sur une hauteur surplombant le Tescou, se dressait depuis le IXe siècle l'abbaye de Montauriol (peut-être fondée autour de 820 ou de 830), affiliée à l'ordre bénédictin sous le nom initial de Saint-Martin, puis de Saint-Théodard (Sanctus Audardus) depuis la fin du Xe siècle31. De cette époque, date le premier noyau de peuplement autour de l'abbaye (village de Montauriol : Mons Aureolus).
En octobre 1144, le comte de Toulouse, Alphonse Jourdain, fonde Montauban, souvent considérée comme une des premières bastides avec un plan type qui sera ultérieurement généralisé pour l'ensemble des bastides du Sud-Ouest notamment par les comtes de Toulouse. Ce développement des bastides ne pourra se faire qu'à partir de 1229, date du traité de Meaux-Paris qui mit fin entre autres aux villages fortifiés (Castéras, Castelnau, etc.) pour asseoir le pouvoir étatique et démanteler ainsi l'emprise seigneuriale qui persistait sur les campagnes françaises au Moyen Âge.
Il lui donna le nom de Montalba, le « mont des Saules » ou « mont Blanc », par opposition au nom de l'abbaye voisine de Montauriol, le « mont Doré ». La cité, fut construite comme toutes les autres bastides qui suivront, tracée selon un plan orthogonal avec les rues coupées à angle droit qui rejoignent le cœur de la ville avec une place centrale dont l'actuelle place Nationale qui est affectée au commerce, avec une place annexe pour l'église.Tentée par le catharisme, Montauban reste fidèle au comte de Toulouse. La petite ville nouvelle croît de façon spectaculaire, et l'ancien évêque de Cahors Jacques Dueze, devenu le pape Jean XXII, fonde l'évêché de Montauban en 1317, émancipant définitivement la ville de l'espace d'influence de l'abbaye de Moissac. La seconde moitié du XIIIe siècle est une époque de prospérité et qui confirme l'essor commercial déjà présent au XIIe siècle. C'est alors que sont lancés de grands travaux publics : l'église Saint-Jacques achevée en 1280 et le pont Vieux bâti de 1304 à 1335. Ce dernier est équipé de deux tours de défense à ses extrémités et d'une chapelle en son centre.
Au début du XIVe siècle, Montauban est en pleine expansion économique. Mais la guerre de Cent Ans va brutalement freiner cet essor. La ville passe pour quelques années aux mains des Anglais après plusieurs batailles. Le Prince de Galles, Édouard de Woodstock, dit aussi le Prince Noir, fait édifier un château au bord des rives du Tarn. En plus, à la guerre de Cent Ans vient s'ajouter la grande épidémie de peste de 1348, et le petit Âge glaciaire portent un grave coup au développement de la France dont Montauban. Dès 1368, la ville est à nouveau française et ne garde plus qu'un souvenir de l'occupation anglaise avec la salle du Prince Noir aux immenses voûtes d'ogives situées dans l'actuel musée Ingres. En mai 1472, par ses lettres patentes, le roi Louis XI confirma les privilèges de la ville, à la suite de la mort du duc de Guyenne, son frère.
Héraldique
De gueules au saule d'or étêté, ayant six branches sans feuilles, trois à dextre, trois à senestre ; au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or.
A noter qu'en 1809, Montauban fit partie des "bonnes villes" qui remplacèrent, sur leur blason, les fleurs de lys par trois abeilles, symbole de Napoléon.
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Ploemeur, s'écrit également Plœmeur, est une commune du département du Morbihan.
Du breton Plañwour francisé en Ploemeur, Ploue(v) Meur, qui signifie « grande paroisse ». Pendant longtemps Ploemeur était en effet l'une des communes les plus vastes du diocèse de Vannes avant de céder une partie de ses terres.
Ploemeur compte 17 km de littoral. Celui-ci, orienté du nord-ouest au sud-est et globalement assez rectiligne, présente toutefois des aspects variés, alternant caps et baies (criques) assez peu marquées, falaises basses (qui gardent souvent des traces de leur exploitation comme carrières les siècles passés, ce qui a modifié leur aspect) et plages. Le sentier de randonnée GR 34 longe le littoral.
Plusieurs monuments datant du néolithique (il y a 6 000 ans) témoignent d'une activité voici plusieurs millénaires sur les terres de la commune actuelle. Cependant il ne reste que peu de menhirs, dolmens et tumulus de nos jours encore intacts. La disparition, ou destruction, de ces vestiges s'explique par l'émergence de l'activité agricole et l'exploitation des carrières de kaolin entre autres.
L'exploitation du kaolin
À Plœmeur, deux sociétés exploitent le kaolin. La « Société des Kaolins d'Arvor », fondée en 1919 par la fusion de deux entreprises antérieures, voit sa production croître de 2 200 tonnes en 1919 à 30 000 tonnes en 1935, celle-ci régressant ensuite pour réaugmenter après la Seconde Guerre mondiale, atteignant 40 000 tonnes en 1958 et 80 000 tonnes en 1986. La « Société nouvelle des kaolins du Morbihan » produit pour sa part environ 70 000 tonnes de kaolin et 7 500 tonnes de muscovite par an vers le milieu de la décennie 1980, ainsi que 50 000 tonnes de sable quartzeux.
Fort-Bloqué
Fort-Bloqué, ou fort de Keragan, est une fortification située dans la commune de Ploemeur. Il est construit à la suite du siège de Lorient dans le but de renforcer le système de fortifications sur la côte atlantique de la Bretagne.
Situé sur l'île Keragan, un îlot accessible uniquement à marée basse, il a été construit à l'initiative du gouverneur de Bretagne Louis-Jean-Marie de Bourbon, duc de Penthièvre. Blasonnement
Les armoiries de Ploemeur se blasonnent ainsi :
D’azur au navire d’or, habillé et pavillonné du même, voguant sur une mer d’argent –au chef d’argent chargé de trois mouchetures d’hermine de sable.
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Vimoutiers est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie.
Ce toponyme est constitué de l'élément -moutier issu de l'ancien français mostier, monstier signifiant parfois « monastère », mais surtout « église ». L'initiale Vi- représente soit le nom de la Vie, soit, moins probablement (étant donné l'existence de nombreuses formes anciennes en W-), le produit du latin vicus « village ».
Patrimoine
Le char Tigre de Vimoutiers, classé à titre d'objet aux Monuments historiques en 1975, au sud-est de la ville sur la route de Gacé (RD 979), témoigne des engagements qui se sont déroulés à proximité avec une violence extrême. L'église Notre-Dame, photos Philou, (fin du XIXe siècle) et ses vitraux réalisés par les ateliers Gabriel Loire, après que ceux-ci ont été détruits lors du bombardement le 14 juin 1944. L'Orgue Cavaillé-Coll (1898) et Séquiès (1972).
Le Vieux Couvent, classé au titre des Monuments historiques depuis le 17 décembre 1985.
Héraldique
Les armes de la commune de Vimoutiers se blasonnent ainsi :
D'azur à la croix d'or, cantonnée de quatre clefs du même adossées deux à deux JP
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Capitale de l'ancienne province du Berry, à quelques dizaines de kilomètres du centre géométrique de la France métropolitaine, et à 240 km au sud de Paris, la ville de Bourges est située à la confluence de plusieurs rivières (Yèvre et Voiselle, une de ses dérivations, Auron, Moulon, Langis)
Ancienne ville fortifiée, Bourges témoigne encore aujourd'hui de ces marques avec la présence notamment au niveau de la mairie de remparts gallo-romains ainsi que le marquage au sol d'une ancienne tour de défense.
Le tramway de Bourges dessert la ville de 1898 à 1949. Lieux et monuments
Bourges est classée Ville d’art et d’histoire.
Le palais Jacques-Cœur, habitation réalisée par Jacques Cœur à la fin du XVe siècle
Le musée Maurice-Estève, dans l’ancien hôtel des Échevins
Les marais de l’Yèvre et de la Voiselle, jardins familiaux et cultures maraîchères, ont été classés en 2003 sur la Liste des monuments naturels et des sites.
Les vestiges des remparts gallo-romains.
La fontaine monumentale et le portique gallo-romain sous le palais du duc Jean de Berry
Les restes du palais du duc Jean de Berry (aujourd’hui préfecture)
La place Gordaine et ses maisons à pans de bois (XIVe siècle)
La grange des dîmes (XIIe siècle), rue Molière, près de la cathédrale
Le palais archiépiscopal (XVIIe siècle), ancien hôtel de ville, et son jardin à la française (jardin de l’archevêché) attribué à Le Nôtre.
Le canal de Berry et les rives de l’Auron
L’hôtel Cujas, qui abrite le Musée du Berry
L’hôtel Lallemant, exemple de la première Renaissance française, construit par les frères Jean Lallemant.
Spécialités culinaires
Plusieurs spécialités du patrimoine gastronomique sont originaires de Bourges :
la forestine, un bonbon ;
le zizi, une pâtisserie ;
la Crécelle, une bière ;
la galette de pomme de terre, une pâtisserie salée ;
la bûchette du Berry, une confiserie ;
les sanciaux ou crépiaux berrichons
les sirops de Monin, sirops haut de gamme.
Héraldique
Blason de Bourges. « D’azur, à trois moutons passants d’argent, à la bordure engrêlée de gueules, au chef d’azur chargé de trois fleurs de lis d’or. »
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Le nom de la localité est attesté sous les formes Gorran en 1154 et 1185, Gorram en 1198 et de Gorren en 1198, Le toponyme peut être issu du manceau gor, « barrage sur une rivière », ou d'un anthroponyme germanique tel que Gurandus
L’existence de Gorron apparaît dès le XIe siècle. Vers 1064, elle était assiégée et prise par Guillaume le Conquérant, duc de Normandie. Sa cure est mentionnée, vers 1082, sous le nom d’Apud Gorronum. À cette date, Robert de Mortain, comte de Mortain, et demi-frère de Guillaume le Conquérant, et Mathilde, sa femme, donnaient « la moitié de l'église, des péages et des cans, du four et du moulin de Gorron» pour la fondation d'une prébende de leur chapitre de Mortain.
Dans les vieux dictionnaires, on peut noter que Gorron était associée à la fabrication des andouilles et des sabots. Vers 1403, on y aurait trouvé des fabriques de sabots, de tissus et de coton et des tanneries d'où ont découlé les industries liées à la chaussure, ces industries qui ont fait la notoriété de cette région. Au cours des siècles, elles se sont transformées en petites industries métallurgiques, en industries du bois, des meubles et des plastiques. Gorron fut également un centre d'exploitation de granite : bon nombre de vieilles maisons ont été construites avec le granite de Gorron.
Le bourg fut desservi, de 1901 à 1947, par la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique des Chemins de fer départementaux de la Mayenne reliant Landivy à Mayenne. La ligne de Mayenne à Landivy fut ouverte sur la section comprise entre Landivy et Mayenne-Saint-Baudelle via Gorron le 22 août 1901. La section entre Mayenne-Saint-Baudelle et Mayenne-Échange ne fut ouverte que le 1er avril 1903. La section Landivy - Gorron ferma avant la Seconde Guerre mondiale. Le viaduc de Mayenne situé sur la section de Mayenne-Saint-Baudelle à Mayenne-Échange fut bombardé en 1944. En 1947, la section de Gorron à Mayenne-Saint-Baudelle ferma, marquant la fin des chemins de fer secondaires à voie métrique en Mayenne. En 1886, on créa un syndicat du "hannetonnage" qui détruisit, pendant la campagne du 9 mai au 12 juin 1887, 75 000 kilos de hannetons…
Héraldique
Les armes de la commune de Gorron se blasonnent ainsi :
D'argent aux trois têtes de loup de sable. JP
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JP,
As tu vu tes dates :
Le nom de la localité est attesté sous les formes Gorran en 1154 et 11853, Gorram en 11983 et de Gorren en 11984,
A+
Claude
As tu vu tes dates :
Le nom de la localité est attesté sous les formes Gorran en 1154 et 11853, Gorram en 11983 et de Gorren en 11984,
A+
Claude
ERIBA un jour...ERIBA toujours.
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Enfin il y en a un qui suit
Wiki fait des renvois avec des chiffres, quand ils sont derrière du texte ça ce voit facilement mais derrière des chiffres ça saute moins aux yeux.... c'est rectifié mon ami !!!
JP
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Domaine seigneurial et monacal dès le Moyen Âge, Savigny-sur-Orge construit autour du château occupé par d’illustres familles se développa dès l’arrivée du chemin de fer à la fin du XIXe siècle. C’est aujourd’hui tant une « ville-dortoir » confrontée au vieillissement de ses infrastructures qu’une commune recherchée des classes moyennes.
Toponymie
Attesté sous le nom Savini vers 1100, Savignaicum en 1151, Saviniacus en 1152, Saviniacum en 1307.
Le nom de Savigny-sur-Orge viendrait de la présence à l’époque gallo-romaine d’un propriétaire terrien originaire de la Sabine et dénommé Sabinus qui évolua vers l’appellation Savinus puis la graphie actuelle. Créée en 1793, la commune ajouta la mention du cours d’eau l’Orge en 1801 pour se distinguer des nombreuses autres communes homonymes.
Mais en latin Sabinum signifie « vin du pays des sabins », on peut remarquer que onze Savigny se situent dans des pays de vin et qu’il en est de même pour les Savignac du Sud-Ouest. À Savigny-sur-orge, les coteaux ont longtemps été couverts de vignes et de nombreux documents attestent que la profession de vigneron était très répandue à Savigny.
Des vestiges de silex taillé, des pierres polies, de bronze et de céramique certifient la présence humaine dès le néolithique et jusqu’à l’époque celtique. L’origine latine du nom semble indiquer la présence d’un propriétaire terrien à l’époque gallo-romaine. Des pièces en bronze découvertes attestent d’une concentration humaine aux IIIe et IVe siècles. Au Moyen Âge, des moines de l’abbaye Notre-Dame-des-Champs développent un moustier aux Prés-Saint-Martin.
Héraldique
Blason de Savigny-sur-Orge Les armes de Savigny-sur-Orge se blasonnent : D’or au lion de gueules tenant une bannière coupée d’argent et de gueules emmanchée aussi d’argent, au chef d’azur semé de fleurs de lys d’or151.
Le blason créé en 1952 par un Savinien est inspiré de celui du maréchal Davout. Le semis de fleurs de lys rappelle que Savigny est situé dans l’ancienne province d’Île-de-France dont la fleur de lys était l’emblème.
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Toponymie
Voici chronologiquement les différents toponymes trouvés dans des sources anciennes d'après le Dictionnaire topographique de la France mis en ligne par le Comité des travaux historiques et scientifiques :
Sezana (937) ; Cesana (1079) ; Sezanna (1080) ; Sezania (1085) ; Sezennia (1119) ; Sesania (1137) ; Sezannia (1140) ; Sezeinnia (1189) ; Sazannia (1199) ; Sezenne (vers 1222) ; Cesannia (1233) ; Sesannia (1235) ; Suzennia (1245) ; Sesanne (1259) ; Sezane (1268) ; Sezannya (1269) ; Sedanne (1274) ; Sezenna (1283) ; Sedanes en Brye (1489) ; Sedanne (1517) ; Sedaine (1522) ; Sezanne-en-Brie ; Sezannes (1553) ; Sedane (1574) ; Cezanne (1648) ; Sesanne-en-Brie (1732).
Préhistoire
Feuille fossilisée de Vitis Sezannensis.
Au XIXe siècle, dans les tufs de la commune, des fouilles ont mis au jour des restes fossilisés d'une vigne de l'âge tertiaire (Paléocène) qui a été baptisée Vitis sezannensis. Cette variété, disparue de l'Europe lors de la glaciation de Riss, subsiste de nos jours dans le Sud-Est du continent américain mais se révèle inapte à la vinification.
Lieux et monuments
L'église Saint-Denis. On remarque sous l'arbre des petites maisons accolées à l'église dont l'une est l'office de tourisme.
L'église Saint-Denis, qui recèle en ses contreforts des ouvroirs. Les ouvroirs étaient de petites échoppes installées dans les murs même de l'église. Dès 1499, sellier, tailleur, chaudronnier, boulanger, quincaillier, cordonnier, notaire, orfèvre, serrurier ou maître verrier se succédèrent dans les 23 niches construites. Elles furent fermées au début du XXe siècle car les commerçants continuaient à creuser dans la pierre pour s'agrandir, mettant ainsi en péril l'église elle-même. Une seule reste toutefois ouverte sans dommage : l'Office du Tourisme.
Héraldique
Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
d'azur au château de cinq tours d'argent maçonné de sable, surmonté de trois fleurs de lys d'or rangées en chef.
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Le théâtre Graslin est la salle d'opéra de Nantes (Loire-Atlantique). Édifié à la fin du XVIIIe siècle, il est inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis le 8 décembre 1998.
Il se situe sur la place Graslin, entre les rues Molière, Scribe et Corneille. La salle a une capacité d'accueil de 784 places assises.
Il existe à Nantes une tradition de théâtre et d'opéra ; les premières œuvres de ce genre sont présentées dans la ville en 1687. La salle la plus réputée au XVIIIe siècle est le « théâtre des Variétés », situé rue Bignon-Lestard (aujourd'hui rue Rubens). Mais cette salle est jugée trop petite, et l'académie de musique, fondée par le maire Gérard Mellier en 1727, ne dispose pas de lieu approprié pour donner ses concerts.
À la fin des années 1770, Jean-Joseph-Louis Graslin, receveur général des fermes du roi à Nantes depuis une dizaine d'années, décide de financer une opération immobilière privée d'envergure.
Jean-Joseph-Louis Graslin, en 1780, confie à Mathurin Crucy la mission de dresser le plan de la salle de spectacles. L'architecte, plus au fait des nouveautés en matière de construction de ce type de bâtiments, œuvre dans une optique plus moderne que son prédécesseur Jean-Baptiste Ceineray, inspiré par les théâtres du XVIIe siècle et les salles de jeu de paume. Le modèle en vogue à l'époque où Crucy conçoit ses plans est celui de l'opéra de Lyon, réalisé par Jacques-Germain Soufflot entre 1753 et 1756.
L'aménagement intérieur est guidé par des considérations liées à la visibilité et à l'acoustique. Comme la plupart des salles de l'époque, celle de Graslin est en forme d'ovale tronqué.
En 1783, Jean-Joseph-Louis Graslin fait procéder aux excavations et nivellement pour permettre l'installation des fondations, anticipant l'accord du bureau de la ville et celui de l'Académie royale d'architecture, qui sont obtenus en septembre 1784. L'accord de construction est donné en février 1785. La durée prévue des travaux est alors de 18 mois ; ils vont durer quatre ans
Crucy fait appel à son beau-frère, Antoine Peccot père, tailleur de pierre, et à son père et ses frères, Louis et Antoine, pour la charpente.
Les pierres utilisées sont :
des pierres de la carrière de Crac'h pour les marches du perron ;
du moellon des carrières de Gigant ;
du « grison » ou granit fin de Vigneux ou des Dervallières ;
du tuffeau blanc de la Maumonnières pour les parements ;
du tuffeau gris des Tuffeaux pour la maçonnerie ;
du calcaire de Crazannes et de Saint-Savinien pour les ouvrages d'architecture sculptés.
Le bâtiment est ravagé par un incendie le 24 août 1796 (7 fructidor an IV). Le feu prend lors d'une représentation de Zémire et Azor, un opéra d'André Grétry. Vers vingt heures, une frise du décor de l'appartement d'Azor entre en contact avec la flamme d'une bougie. L'incendie, aggravé par le vent particulièrement violent ce soir-là, se propage rapidement à la toiture, provoquant l'effondrement de la coupole et du grand lustre. L'ampleur du sinistre rend vaine l'intervention des secours. Sept morts sont dénombrés : quatre spectatrices, dont une fillette de cinq ans, ainsi qu'un machiniste, une femme de service et un danseur. Ce bilan est relativement faible, puisque environ 1500 personnes se trouvaient dans le théâtre ce soir-là19.
À la suite de la visite de la ville par l'Empereur, en 1808, le théâtre est reconstruit à partir de 1811, à nouveau par l'architecte Mathurin Crucy, et de nouveau inauguré en 1813
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Re: Cartes postales
Binche est une ville francophone de Belgique située en Région wallonne dans la province de Hainaut. Elle est célèbre pour son carnaval et son patrimoine architectural.
Binche se développe au Moyen Âge à deux pas de la « chaussée Brunehaut » qui reliait dans l’Antiquité Bavay à Cologne et restera longtemps un axe de communication important.
La ville atteint son apogée en matière économique et de pouvoir lorsque la Belgique était sous domination espagnole.
La ville est pillée par les troupes du duc d'Anjou, lors du siège de 1578. Le château qui avait été édifié par l'architecte Jacques Du Broeucq et qui devait rivaliser avec celui de Fontainebleau est alors détruit.
L'enceinte médiévale: Héraldique
A changé plusieurs fois au cours des siècle et depuis 1980:
D'azur au château fort d'or, le mur d'enceinte crénelé percé de fenêtres et d'une porte à la herse levée et surmontée d'un pignon muni de quatre tours également crénelées à toit conique dont deux de part et d'autre de la porte, la troisième d'angle, le toit de la quatrième apparaissant derrière un donjon aux fenêtres de style gothique dont la cheminée est surmontée d'une cigogne. Le château fort est adextré d'un écu écatelé aux 1 et 4 d'or au lion de sable, armé et lampassé de gueules, aux 2 et 3 d'or au lion de gueules, armé et lampassé d'azur (Hainaut), et senestré d'un écu d'argent au lion de sable, armé et lampassé de gueules (Binche). JP
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Ne pas confondre avec la pomme de terre, même si celle-çi est fortement cultivée et consommée en Belgique.
Pomme de terre BINTJE,(provenance des Pays Bas.)
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Histoire
Il paraît certain que l'emplacement actuel de Neuville était habité dans les temps préhistoriques. La preuve nous en est donnée par les haches en pierre polie qui furent trouvées dans les terres neuvilloises ; ainsi que par les huit pendants en os de l'époque néolithique d'un collier trouvé dans un pouding calcaire en 1871 par un garçon de 15 ans près du pont de Neuville.
Il existait à Neuville un groupement de Gaulois. Il est probable que ces habitants appartenaient à l'importante tribu des Ségusiaves, composée d'agriculteurs qui occupèrent le pays et furent romanisés après la conquête romaine. La preuve d'une présence gauloise est apportée par la découverte en juillet 1963 d'un cimetière lors des fouilles exécutées pour la construction d'un lotissement au Monteiller. Ce cimetière se compose de nombreuses tombes parallèles ; les corps y sont disposés face à l'ouest et placés dans une sorte de cercueil en pierres plates recouvert d'une pierre plate sans sculpture.
Des pièces à l'effigie de Marc Aurèle et Commode ont été trouvées à la Tatière, ce qui permet d'affirmer que le lieu a continué d'être habité à l'époque gallo-romaine vers l'an 200.
Le bourg fut desservi dès 1895 par une des lignes de l'ancien tramway de Lyon à traction vapeur, puis, en 1929, par le Train bleu du Val de Saône. Blason de Neuville
Les armes de la commune de Neuville-sur-Saône se blasonnent ainsi :
D'azur au chevron d'or accompagné de trois croisettes ancrées du même. Ces armes, empruntées à Monseigneur Camille de Neufville de Villeroy (1606 - 1693), ont été adoptées en 1890.
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Argeliers est une commune de l'aire urbaine de Narbonne, le village se situe au pied des premières collines au nord de la plaine de Narbonne. Elle est limitrophe du département de l'Hérault.
Elle est bordée à l'est par le canal du Midi qui fait une boucle pénétrant presque dans le village. Un port y est aménagé pour les péniches des estivants. Au nord-ouest, le Pech de Bize s'élève formant une frontière naturelle avec Bize-Minervois. Au sud, la route départementale appelée « Minervoise » dessert les différentes entrées du village.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme de Argeleriis en 1154.
Le toponyme signifie « terrain argileux », « lieu où abonde l'argile ».
Héraldique
Blason de Argeliers D'azur au pal fuselé d'argent et de sinople.
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Toponymie
Le toponyme de Pithiviers est un ancien Ped(e)uerius, d'origine celtique, et pourrait être dérivé de petuarios qui signifie « quatrième », en l'occurrence « le quatrième fort » ou « la quatrième ville » (cf. m. gallois petwerydd, v. breton petguare, breton pevare, quatrième).
Histoire
Pithiviers fut un village gaulois (d'où il tire son nom), puis gallo-romain.
Il y avait un château à Pithiviers, dressé vers l'an mille, qui incluait la collégiale Saint-Georges et le donjon commandé par Héloïse de Pithiviers au maître d’œuvre Lanfred, qui interviendra également sur le château d'Ivry-la-Bataille. Ce donjon de 33 mètres dominera la ville pendant près de 840 ans avant démolition en 1837. Aujourd’hui le Théâtre du Donjon évoque son souvenir à proximité.
Durant la huitième guerre de religion, la ville est prise par les deux Henri (le roi de France Henri III et Henri de Navarre) en 1589.
Entre le 29 janvier et le 8 février 1939, plus de 2 800 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent dans le Loiret. Devant l'insuffisance des structures d'accueil d’Orléans, 46 centres d’accueil ruraux sont ouverts15, dont un à Pithiviers16. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le Sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, et le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré17. Certains de ces réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, ceux préférant rester sont regroupés au camp de la verrerie des Aydes, à Fleury-les-Aubrais16.
Articles détaillés : Retirada, Histoire du Loiret et Pithiviers (camp de transit). Pendant la Seconde Guerre mondiale, ce camp est transformé en camp d'internement pour Juifs puis en camp de transit avant le départ pour les camps d'extermination nazis.
Gastronomie
Le pâté d'alouettes : durant trois siècles les pâtissiers-alouettiers de la famille Provenchère conservèrent le titre de Pâtissier Breveté du Roi.
Le Pithiviers, gâteau de pâte feuilletée fourré à la crème d'amande. Il existe aussi une version glacée (sans pâte feuilletée) appelée « Pithiviers fondant » décorée de fruits confits ;
Le Bondaroy au foin appelé aussi le Pithiviers au foin, est un fromage de la région de Pithiviers ;
Les croquignoles, biscuits secs.
Héraldique
Les armes de Pithiviers se blasonnent ainsi :
D'azur à trois chardons, tigés et feuillés d'or, au chef cousu de gueules chargé d'une fleur de lys aussi d'or.
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Asfed, appelé jadis Écry, les Vikings y furent battus en 883.
Au Moyen Âge, les seigneurs d'Escry y bâtissent une demeure fortifiée. Passé à la famille de Grandpré puis aux Bossut, ce château subit de nombreux assauts. En 1199, Thibault III y organisait un grand tournoi qui servait de cadre a l'organisation de la Quatrième croisade. En 1359, il est saccagé par les troupes d'Édouard III d'Angleterre, chevauchant de Calais à Reims, puis par les Bourguignons vers 1425.
En 1625, il est à nouveau attaqué par Charles IV de Lorraine profitant de la Fronde pour piller la Champagne et menacer l'Île-de-France.
En 1671, Jean-Jacques de Mesmes, comte d'Avaux, achète, pour compléter ses terres, ce fief d'Ecry dévasté par ces invasions successives. La principale ville, Ecry, est désormais nommée Avaux-la-Ville. D'Avaux-la-Ville à Asfeld
Jean-Jacques de Mesmes stimule l'économie locale par l'instauration d'un marché hebdomadaire et de deux foires annuelles. Il fait renforcer et agrandir le château et y réside.
En 1680, il décide de la construction d'une nouvelle église, l'église existante étant particulièrement en mauvais état. Cette construction s'inscrit dans un plan d'ensemble aux abords du château2. Le nouvel édifice religieux est béni le 15 juin 1685.
Le 20 mars 1728, Claude François Bidal d'Asfeld achète le comté d'Avaux, formé d'Avaux-le-Château, Avaux-la-Ville, Aire, Vieux et Vauboison, il est chevalier d'Asfeld puis baron d'Asfeld. En 1730, cette seigneurie est érigée en marquisat. Avaux-la-Ville qui s'était appelé Ecry jusqu'en 1671, change à nouveau de nom et prend le nom actuel : Asfeld.
Héraldique Blason de Asfeld
Écartelé : au premier et au quatrième de gueules à la bande cousue d'azur chargée de trois couronnes d'or et accompagnée de deux palmes du même, au deuxième et au troisième d'azur au lion naissant d'argent couronné du même, celui du troisième contourné ; sur le tout d'or aux quatre pals de gueules, le petit écu timbré d'une couronne ducale d'or au cimier d'un griffon issant du même.
MORTAIN
Mortain est une ancienne commune française, située dans le département de la Manche, devenue le 1er janvier 2016 une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Mortain-Bocage.
Toponymie
Le nom de Mortain est mentionné sous les formes Moretoin en 1022-1026, Moretania en 1049 - 1066, Moritonii 1063, Mauritonii vers 1060-1066 , Moreton en 1060 - 1066 , Moritonium 1082 (Musset, Abbaye caennaise 9), Moretuen en 1241.
La région a été occupée dès la préhistoire comme en témoignent mégalithes et outillage lithique découverts sur Mortain et communes environnantes12 : hache polie, dolmen, tumulus de Bourberouge, polissoirs plus loin, et plus tardivement, monnaies gauloises.
Les cascades
La Grande Cascade. La Grande Cascade est située sur la Cance, en limite avec le Neufbourg. Elle est attachée à la légende de Tristan et Iseult.
La Petite Cascade La Petite Cascade sur le Cançon près de sa confluence avec la Cance, est un site dont la ville de Mortain est propriétaire. Elle est située en limite des communes du Neufbourg et de Romagny.
À proximité, sur la rive droite de la Cance et du Cançon, le site du Rocher de l'Aiguille (site appartenant à la ville de Mortain) est situé sur Romagny. Le site, assez bucolique et très dépaysant, est un lieu prisé de promenade.
Héraldique
Les armes de la commune de Mortain se blasonnent ainsi :
D'azur semé de fleurs de lys d'or à la bande componée d'argent et de gueules18.
Ce blason est emprunté aux armoiries de la famille d'Évreux-Navarre (éteinte, branche des Capétiens), anciens comtes de Mortain et d'Évreux et rois de Navarre.
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Aux deux belles autos,on peut ajouter une 175 z2c Motobecane,un Lambretta 125 LE et un Vespa.
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Gujan-Mestras se situe au sud du bassin d'Arcachon, en Pays de Buch. Considérée comme la capitale de l'ostréiculture arcachonnaise, Gujan-Mestras abrite sept ports tournés vers le bassin.
Cabanes au port de la Hume Toponymie
Les toponymes Gujan et Mestras auraient pour origine des patronymes du peuple Boïates qui se sont installés sur les rives de la Leyre 650 ans avant Jésus-Christ
Héraldique
Les armes de Gujan-Mestras se blasonnent ainsi :
Taillé, au premier de sinople à la coccinelle de gueules de sept points de sable, la tête et les pattes du même, au second de sable au voilier de gueules habillé d'argent et flammé aussi de gueules voguant à dextre sur une mer d'azur, surmontée à senestre d'un pin maritime de sinople sur une terrasse isolée d'or ; à la cotice en barre d'or brochant sur la partition ; le tout sommé d'un chef de sable chargé de trois huîtres d'or posées en bande, en pal et en barre.
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Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Cadaneto ou Cadenato au Xe siècle, de Cataneto en 1037.
Cadenet dérive de l'occitan Cadenelo (« genévrier »). Du latin emprunté au gaulois catanus « genévrier » et du suffixe collectif -etum, « ensemble de genévriers »10. Sans doute le lieu était-il propice à la croissance de cet arbuste dont on tire une huile, l'huile cade, dont les propriétés sont intéressantes.
Moyen Âge
Au VIIIe siècle, des invasions sarrasines détruisirent complètement la bourgade.
La localité est citée à la fin du Xe siècle par Cadanetum et Cadenetum.
L’agglomération médiévale se forma, elle, autour d’un château élevé sur une autre colline dans la courant du XIe siècle, par le seigneur Rostaing de Cadenet. Stratégiquement placé sur son promontoire rocheux dominant la vallée Durance, le château de Cadenet traversa du Moyen Âge à l’époque moderne de nombreuses vicissitudes. Bien que plusieurs fois reconstruit, il n’en reste aujourd’hui que des ruines de différentes périodes. Autour de ce lieu s’établit un embryon d’habitat troglodytique dans les falaises. Elle profite du lieu de passage sur la Durance, établi à Gontard (rive opposée) : un bac permettant de traverser la Durance est attesté en 1037.
Héraldique
Blason de Cadenet Les armes peuvent se blasonner ainsi :
D’azur aux trois colombes d’argent.
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La commune se situe dans la plaine de Montfort-l'Amaury, à une trentaine de kilomètres à l'ouest de Versailles et une quinzaine de kilomètres à l'est de Houdan.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Cuculosa en 774, Cauda (La Queue) qui s’est implanté au VIIe siècle ou au VIIIe siècle.
De 1790 à 1882 la commune est appelée Galluis-La-Queue.
À partir de 1883, elle prend le nom de La Queue-lès-Yvelines, bien avant la création de département, marquant ainsi son attachement à la région naturelle de l'Yveline. Lès signifie « près de (la forêt des) Yvelines », comme Villeneuve-les-Avignon signifie « près d'Avignon ».
Cauda (La Queue) désigne une terre allongée, en forme de queue ou l'extrémité d'une zone géographique (étang, champs, bois…), ici la forêt d'Yveline (de Rambouillet).
Au XVIIIe siècle, le hameau de La Queue s'est bien développé et est devenu un village. Il souffre d'être éloigné de Galluis dont il dépend depuis plus d'un millénaire. À l'occasion de la Révolution de 1789, le premier registre des délibérations du Conseil Municipal de la commune va entériner son importance et l'associer en un seul nom de cette nouvelle commune : « Gaslluis-La Queue ». Les registres sont ouverts le dimanche 21 février 1790.
Patrimoine
Tour du télégraphe Chappe (fin du XVIIIe siècle), vestiges sur la butte des Moulins. Héraldique
Les armes de La Queue-lez-Yvelines se blasonnent ainsi :
D'argent semé de feuilles de chêne de sinople, à la bande d'or chargée d'un jonc de sable feuillu aussi de sinople brochant sur quatre ondes et accompagné en chef et en pointe de quatre ondes 2 et 2, toutes d'azur, la bande accompagnée en chef d'un moulin à vent du champ et en pointe d'une diligence aussi du champ.
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Re: Cartes postales
Continue Jean-Pierre....j'ai fait une installation pour pouvoir poster un peu.....
Ce n'est pas formidable mais cela va un poil mieux , alors j'espère vous rejoindre de plus en plus......
Je ne souhaite à personne cette saloperie de cancer ça fait trop mal
bises à tous
Ce n'est pas formidable mais cela va un poil mieux , alors j'espère vous rejoindre de plus en plus......
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A la r'voyure
djef
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OK, Djef, tu reprends la main dès que tu peux
Attention quand vous passerez par là, un des hameaux de la commune s'appelle : les Prunes !!!
Le territoire communal est arrosé par la rivière Creuse.
Toponymie
Le nom vient d'Argantomagos (Argentomagus), oppidum gaulois, puis importante agglomération secondaire gallo-romaine, située sur la commune voisine de Saint-Marcel. Argentomagus se compose du gaulois argantos, « argent » (cf. vieil irlandais argat) et magos « lieu de marché » ou « plaine».
Au XVIIIe siècle, la ville a été appelée communément Argenton-en-Berry.
Argenton est devenu Argenton-sur-Creuse en 1958.
Durant le Moyen Âge, elle devient une place fortifiée sur la colline dominant la vallée. En 761, Pépin le Bref prend la ville fortifiée d’Argenton et son château au duc Waïfre.
Un atelier monétaire frappait une monnaie locale au XIe siècle.
Il reste aujourd’hui quelques vestiges de la Tour du Midi et de la Tour d’Héracle. Le château est pris par Philippe Auguste en 1188, par Henri IV en 1589 et il est enfin démantelé sous Louis XIII en 1632, par ordre de Richelieu.
À partir du XIIe siècle et jusqu’au XVe siècle, la ville haute d’Argenton s’établit au pied de la forteresse, sur la rive gauche de la Creuse.
Ruines du château féodal
Il ne reste aujourd'hui que quelques vestiges de l'immense forteresse, flanquée de dix tours, qui fut détruite sur ordre de Richelieu. Construit sur un promontoire dominant la ville, le château était devenu une menace permanente pour le pouvoir royal.
Sur l'aire de stationnement dont l'accès se fait par l'avenue Rollinat, on peut voir les ruines de la tour du Midi, surnommée la « tour Philipienne ». La tour d'Héracle, dont il reste quelques vestiges, était la plus grosse tour du château.
Les ruines de la Tour du Midi
Héraldique
Blason de Argenton-sur-Creuse Parti : au premier coupé : en chef d'argent à la fasce fuselée de gueules surmontée d'un lambel de six pendants de sable, en pointe d'argent à la croix de gueules, au second d'azur aux trois fleurs de lys d'or et au bâton péri en bande de gueules.
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Re: Cartes postales
Bonjour J-François, reviens nous vite !!!
Benjamin.
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Re: Cartes postales
Rambervillers tirerait son nom d'un ancien domaine gallo-romain (une villae) fondé par un nommé Ramberti, ce qui en latin se disait Ramberti villae, c'est-à-dire " le domaine de Ramberti ". C'est tout du moins l'étymologie communément admise. On ignore si ce centre d'exploitation agricole antique se trouvait à l'exact emplacement de la ville actuelle ou un peu plus à l'écart de celle-ci. Il ne subsiste aucune trace archéologique de la "villa de Ramberti". Il faut supposer que les bâtiments de ce domaine étaient, comme la plupart des villas gallo-romaines qui ont donné leur étymologie à toutes les villes et villages français dont le nom actuel se termine en "ville" ou "villers", ceints de modestes remparts de terre, de pierre et de bois censés repousser les raids des barbares venus de l'Est.
Patrimoine civil
Le château épiscopal, construit au XVe siècle, dont la conciergerie et la tour de l'ancienne porterie sont inscrites monuments historiques par arrêté du 23 juin 1988 Le château des Capucins, construit à la limite du XVIIIe et du XIXe siècle à l'emplacement de l'ancien couvent des Capucins, les façades et toitures du château, de l'orangerie et des dépendances, la salle voûtée souterraine, ainsi que les sols et clôtures de la cour et du parc sont inscrits monuments historiques par arrêté du 29 juin 2004.
Le château de Bouzillon (XVIIIe siècle).
Le château de Sainte-Lucie79 (XIXe siècle).
Le château de la Forge (XIXe siècle).
L'hôtel de ville, construit au XVIe siècle, classé au titre des monuments historiques par liste de 1900.
L'école du centre (ancien couvent des bénédictines), construite au XVIIe siècle, façade sud (y compris la tour) et toiture correspondante inscrites monuments historiques par arrêté du 27 octobre 1995.
La Manufacture vosgienne de grandes orgues, dont les bâtiments et la voie ferrée sont inscrits sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 21 septembre 2012.
Vestiges d'une enceinte de 24 tours construites au XIIIe siècle dont 5 subsistent
Héraldique
Blasonnement :
D'argent à la croix de Lorraine de gueules cotoyée des lettres I R et de deux croissants d'azur et, en abîme, la croix de la Légion d'honneur102,103.
Commentaires : Le blason a été composé en 1718 par le duc Léopold de Lorraine à l'occasion du rattachement de Rambervillers à la Lorraine, avec d'autres territoires de l'évêché de Metz, dont la ville dépendait auparavant. La croix de Lorraine symbolise cet événement : les initiales I et R des mots latins (Imperator Rex) signifient que le duc Léopold appartenait à la famille impériale d'Autriche et qu'il avait le titre d'Altesse Royale. Les croissants glorifient les victoires remportées par son père, le duc Charles V, sur les Turcs, notamment devant Vienne en 1683.
La Légion d'honneur a été ajoutée au cœur du blason, en application du décret du 19 avril 1896 pour la défense de Rambervillers par ses Gardes Nationaux le 9 octobre 1870. Rambervillers fut alors la deuxième ville décorée par la République et la sixième depuis la création de l'Ordre par Napoléon Ier.
JP
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