Cartes postales
- LANDERIBA
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Voir :
https://www.forumeribatouring.com/viewt ... 25#p204525
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Et en complément :
Lieux et monuments
Collégiale Notre-Dame
Hôtel de ville de Cassel, dont l'ancien bâtiment du XVIIe siècle a été détruit lors de la seconde guerre mondiale.
Le château du Général Vandamme, situé en bordure du village. Le château est aujourd'hui en ruine, plusieurs projets de reconstruction sont en cours pour lui redonner sa prestance d'avant
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- Philou 33
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Re: Cartes postales
Bonjour à tous !
Lorient (56)
D' autres photos
La Criée
La Poliniére
Place Alsace Lorraine (3)
Place Aristide Briand
Place Bisson
Pont d' Oradour
Rue de Beauvais
Rue Paul Guieysse
[url=https://postimg.cc/75T3W2fw]
Philou
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Philou
- LANDERIBA
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Voir :
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Monuments historiques
Très nombreux malgré les destructions dues à la dernière guerre et ses nombreux bombardements du port et alentours.
Chapelle Saint-Christophe de Lorient
Hôtel Gabriel (ancienne Préfecture maritime de Lorient)
La tour de la Découverte, tour de guet permettant de signaler l'approche des navires et de surveiller d'éventuelles manœuvres de contrebande sur les côtes de l'île de Groix.
Le thonier Biche, dernier thonier-dundee de l'Atlantique.
Ainsi que de nombreuses églises et chapelles, dont :
L'église Notre-Dame-de-Victoire, dite église Saint-Louis, en référence à l'église d'avant guerre, construite en 1954-56
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- Philou 33
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- LANDERIBA
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Re: Cartes postales
Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Paisac.
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
Église paroissiale, à transept et chœur romans. Chaire baroque. Pietà polychrome du XVe siècle.
Elle s'est appelée : église Saint-Sauveur, église de la Trinité et porte aujourd'hui le nom d'église de la Transfiguration.
Elle possède un clocher tors probablement construit au XVIe siècle, en même temps que le bahut défensif.
Voir C.P de Philou
Patrimoine civil
Château de Payzac, édifié au XVe siècle, remanié au XIXe siècle, résidence de la famille des barons Le Clere.
Pont las Veyras (ou pont Laveyrat) sur l'Auvézère. Construit avec des avant-becs pour résister à la force du courant lors des crues, il date des XIIIe et XVe siècles. Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1987.
Musée de l'ancienne papeterie de Vaux.
Au bord du ruisseau des Belles-Dames, la papeterie a remplacé au XIXe siècle une ancienne forge. Après la fermeture de l'usine produisant la pâte à papier importée par la fabrique, elle a été aménagée en musée-atelier. Célèbre pour son papier alimentaire de forme ronde produit à partir de paille de seigle, l'usine propose aux visiteurs un parcours historique dans la vie du papier autour d'œuvres d'art et d'animations. Autour du site, un chemin d'initiation papetière invite à la découverte des plantes utilisées dans ce secteur. Le site est classé monument historique depuis 1996.
Plusieurs granges ovalaires, ou granges ovales sont des bâtiments agricoles qui à l'origine étaient recouvertes de chaume de seigle aujourd'hui remplacé par des plaques de tôle, sont également inscrites sur différents lieux-dits de la commune.
Le manoir de La Juvénie du XVIIe siècle a été restauré au XIXe siècle. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il a servi de refuge à des centaines d'enfants : d'abord de septembre 1939 à octobre 1940 à 250 enfants alsaciens ; puis en avril 1941, environ 200 enfants sont placés là par le groupement d'entraide des réfugiés d'Alsace et de Lorraine ; à partir du printemps 1943, parmi les 150 enfants figurent de jeunes Juifs ainsi que des fils de résistants ou de communistes.
Motte castrale au lieu-dit La Châtaignolade.
Maison forte du Montet aussi appelé Château du Montet.
Héraldique
De gueules à la croix aiguisée d'argent, cantonnée de quatre fleur-de-lys d'or.
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- Chambord45
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Re: Cartes postales
Sur la 1ère photo une rare 4 CV affaire de 1954 (1 moustache et le logo rond pas d'enjoliveur etc....) 1 an de production avec ce logo donc très rare maintenant.
A+
Claude
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- LANDERIBA
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Re: Cartes postales
Athis-de-l’Orne est une ancienne commune française, devenue le 1er janvier 2016 une commune déléguée au sein de la commune nouvelle d'Athis-Val-de-Rouvre.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Athies vers 1350.
Les toponymes de type Athis sont issus du gaulois Attegia, « cabane ».
Le locatif de-l'Orne est ajouté en 1968.
Lieux et monuments
L'église Saint-Vigor (XIXe siècle) fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 16 février 2006.
Usines, ateliers de filatures (XIXe siècle).
Dans les dossiers du Patrimoine industriel de l'Orne : cinq filatures, une usine de tissage-ouvrages en amiante, deux usines de matériel radioélectrique, une usine de peausserie, une usine d'ouvrage en amiante-usine de ouate.
Héraldique
Les armes de la commune d'Athis-de-l'Orne se blasonnent ainsi :
D'argent aux deux chevrons de sable accompagnés de trois canettes du même.
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- Philou 33
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Spéciale pour notre ami ChambordChambord45 a écrit : ↑lun. 22 janv. 2024 10:19
Sur la 1ère photo une rare 4 CV affaire de 1954 (1 moustache et le logo rond pas d'enjoliveur etc....) 1 an de production avec ce logo donc très rare maintenant.
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- Chambord45
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Re: Cartes postales
Vous me faites trop d'honneur votre majesté.
La mienne avant la vente, une Sport de 54, mais sans le logo rond, à l'époque impossible d'en trouvé 1 :
A+
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Ben dit donc les haies ont bien poussé depuis, heureusement car le wouaff wouaff n'arrêterait pas de la journée !!!
- LANDERIBA
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Re: Cartes postales
Toponymie
Il semble que le nom du village signifie « Chez les oies ». Thème que l'on retrouve d'ailleurs dans le blason.
Histoire
Assis sur la rivière « Ource », Essoye (l'adjonction d’un « s » superflu mais « faisant plus riche » est récente) est habitée depuis l'époque celtique pour le moins. Au XIe siècle seulement, on trouve des traces écrites sur le village. L'abbaye de Molesme était solidement implantée à Essoyes. La seigneurie d’Essoyes, bien située entre Molesme et Clairvaux a été la propriété de la famille Sommièvre jusqu’à la Révolution.
Au centre du bourg se dressait l'ancienne église romane Saint-Rémi qui comptait parmi les édifices romans les plus remarquables de l'Aube. Elle fut détruite en 1855. Une souscription permit de la remplacer par l'église actuelle consacrée en 1865.
Plusieurs moulins étaient installés sur l'Ource. Au milieu du XVIIe siècle, la fabrication du papier constituait une activité relativement importante qui cessa à la fin du XVIIIe siècle.
Un incendie ravagea Essoyes le 12 mars 1763. Seules les quelques maisons construites en pierre furent épargnées. À cette époque, les constructions dans leur majorité, étaient faites de bois et de torchis et couvertes de chaume.
L'ancien château, acheté et agrandi par Olympe Hériot à la fin du XIXe siècle, a été racheté par la commune en 1936. Dans la partie gauche a été installée l’école ; dans la partie droite la perception.
Lieux et monuments
L'église Saint-Rémi, reconstruite et consacrée en 1865.
Voir C.P. Philou.
Le musée Maison de Renoir ouvert au public en 2017, L'atelier Renoir de Pierre-Auguste Renoir, construit en 1905 au fond du jardin de la maison familiale.
Au cimetière : tombeaux du peintre Pierre-Auguste Renoir, de son épouse Aline Charigot, et de leurs fils, le cinéaste Jean Renoir, l'acteur Pierre Renoir et le céramiste Claude Renoir. S'y trouve également la tombe d'Auguste Hériot.
La chapelle Saint-Bernard de Servigny.
Héraldique
Les armes de la ville se blasonnent ainsi :
Tiercé en fasce : au 1er d'azur à l'oie d’argent becquée de gueules sur un mont de sinople, au 2e losangé d'or et de sable, au 3e d'or aux trois pals de sable.
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- LANDERIBA
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Re: Cartes postales
Trentemoult est un ancien village de pêcheurs et de marins situé sur la rive gauche de la Loire, faisant partie de la commune de Rezé, au sud de Nantes, en Loire-Atlantique, 44.
Une île dans les îles
Trentemoult se situe dans un ancien ensemble insulaire : les îles de Rezé, cernées au nord par la Loire et au sud par le Seil. Le comblement de ce dernier a mis fin à cette insularité. Les îles de Rezé étaient constituées, de l'amont vers l'aval, de l'île des Chevaliers avec les villages de la Haute-Île et de la Basse-Île, du hameau de North House (appelé localement « Norkiouse ») et enfin de l'île de Trentemoult qui était séparée du reste de celles-ci par un petit cours d'eau : le Courtil-Brisset. Trentemoult concentrant l'essentiel de la population, le nom de l'île était souvent utilisé pour désigner l'ensemble des îles de Rezé, du reste habitées par les mêmes familles durant des siècles.
Selon la tradition, le village devrait son nom à un exploit guerrier qui eut lieu lors du siège de Nantes par les Normands au IXe siècle : trente braves auraient combattu contre des hommes du Nord. Moins épique mais peut-être plus crédible, « Trentemoult » pourrait être également issu de « trente moux » c’est-à-dire trente tertres.
L'île des pêcheurs
Les trentemousins avaient la caractéristique, jusqu'au début du XIXe siècle, de vivre presque entièrement de la pratique de la pêche. Ils bénéficiaient notamment de ce privilège dans l'estuaire de la Loire, octroyé en 1397 par le duc de Bretagne Jean IV1.
Les pêcheurs de Trentemoult embarquaient dans des petites barques à fond plat, appelées barges, à deux pour la pêche en Loire et à trois pour celle en mer. Pour cette dernière, ils n'hésitaient pas à s'aventurer jusqu'à La Rochelle et Lorient. À l'automne, ils se rendaient dans la baie de Mesquer pour la pêche au hareng. Les années 1756 et 1757 furent exceptionnelles et auraient rapporté un produit cumulé de plus de 300 000 livres à la communauté, une véritable fortune.
L'île des capitaines
Au début du XIXe siècle, les marins trentemousins délaissent progressivement la pêche au profit du commerce maritime : cabotage puis long-cours. Trentemoult devient ainsi, et ce pendant tout le siècle, un des principaux foyers de recrutement d'officiers de commerce pour le port de Nantes. Parmi ce grand nombre de capitaines trentemousins, on peut citer les noms de Julien Chauvelon, capitaine du Belem pendant 13 ans, ou de Georges Aubin, à qui l'on doit plusieurs récits de voyages maritimes.
Parallèlement, pour répondre à la demande de ces capitaines, des chantiers navals se développent dans les îles, à Trentemoult d'abord, puis à Norkiouse par manque de place : les principaux étant les chantiers Chauvelon et Lemerle dans la première moitié du XIXe siècle, Boju, Clergeau et Tillé dans la seconde moitié. À l'apogée des chantiers, ce sont des bricks et des trois-mâts qui sortent des cales trentemousines.
Déclin et renaissance
À la fin du XIXe siècle, le village est un lieu prisé par les Nantais : la création de la ligne des roquios en 1887 permet d'accéder plus facilement aux régates, baignades et guinguettes. Mais, parallèlement, la population résidente est devenue ouvrière, principalement main d'œuvre pour les chantiers navals de Nantes. En 1946, Trentemoult est considéré comme insalubre, et en 1970 la ligne des roquios est abandonnée.
En 1979, la création d'un port de plaisance relance l'intérêt pour le site. Le tournage du film La Reine blanche, en 1990, rend le village de nouveau attractif et le prix de l'immobilier y augmente. La liaison fluviale avec Nantes est rétablie en 2005. Bien que le village dépende de Rezé, l'office de tourisme l'intègre dans ses propositions de visite, signe de l'attrait retrouvé de Trentemoult.
Habitat
Les maisons traditionnelles des pêcheurs, adaptées aux crues de la Loire, étaient généralement construites sur trois niveaux. Le premier, inondable, était occupé par le cellier, la pièce d’habitation étant au deuxième niveau. Le dernier niveau était occupé par un grenier qui pouvait parfois communiquer avec les greniers mitoyens, permettant ainsi aux voisins de se rencontrer sans avoir besoin d'utiliser des embarcations. Les escaliers étaient en principe extérieurs pour accéder directement à la pièce d'habitation lors des inondations. Ces derniers étaient cependant parfois doublés par un escalier intérieur. La construction des quais (« Surcouf » à partir de 1850, « Marcel-Boissard » entre 1860 et 1888) a réduit les risques de débordement du fleuve. Les dernières grandes crues mémorables sont celles de 1910 et 1935.
Dans la seconde moitié du XIXe siècle, des capitaines, dont des Cap-horniers, se sentant à l'étroit dans les maisons de pêcheurs, se sont fait construire autour du vieux village des maisons bourgeoises, pourvues de jardins d'agréments caractérisés par la présence de plantes exotiques ramenées de leurs lointains voyages.
JP
Re: Cartes postales
De l'autre côté de la Loire une statue dans le square de Chantenay à le bras tendu vers Indret en aval de trentemoult d'où l'expression locale :
Il vaut mieux Indret que Trentemoult.
Bonne journée à tous
JLM
JLM
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Re: Cartes postales
Depuis le 1er janvier 2017, Cloyes-sur-le-Loir est intégrée à la commune nouvelle de Cloyes-les-Trois-Rivières dont elle devient le chef-lieu, avec statut de commune déléguée.
Toponymie
Selon une théorie, déjà fort ancienne, de nombreux toponymes, analogues à Cloyes ou Clayes , auraient Cleta, terme celtique, pour origine. Jadis Cloie (mot du XIIe siècle), remonte bien à Cleta (claie, lieu clos) fabriqué à partir, le plus souvent, de l'entrelacement de lames de bois, mais également de brins d'osier.
L'ancien prieuré bénédictin de l'abbaye de la Sainte-Trinité de Tiron fut fondé en 1115. L'église de Cloyes servit de halte aux pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Lieux et monuments
Édifices religieux
Église Saint-Georges
L'église Saint-Georges est en partie romane. Son clocher date du XVe siècle, l'abside du XIIe siècle a été restaurée.
Voir C.P. Philou.
Ancien prieuré de Notre-Dame d'Yron
L'ancien prieuré de Notre-Dame d'Yron des XIIe et XIIIe siècles dépendait de l'abbaye de la Sainte-Trinité de Tiron, située à Thiron-Gardais.
Il possède une nef unique à bardeaux de bois. Les peintures murales des XIIe et XIVe siècles ont été restaurées au XXe siècle.
Édifices civils
Château de Bouville.
Four à chaux, rue Jean-Chauveau (propriété privée), important four à chaux industriel de la fin du XIXe siècle, installé à flanc de coteau, parfaitement conservé et entretenu par ses propriétaires, sa cheminée et son gueulard sont visibles plus haut, avenue du 11-Novembre.
Héraldique
Les armes de la commune se blasonnent ainsi : d’or au léopard de sable.
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Mallemort est une commune française située dans le département des Bouches-du-Rhône en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle fait partie de la métropole d'Aix-Marseille-Provence. La commune se trouve sur les bords de la Durance, rive gauche, face au Luberon, qui borde la rive droite.
Toponymie
Le nom de la commune vient de « mal » (mauvaise) et « mort ». La région auparavant envahie par les marais réduisait cette région agricole à la maladie et à la stérilité des terres. Les marais sont asséchés.
En 1092, Mallemort est appelée Castro Malemorti. Elle prend son nom de Malamors au XIIe siècle.
Lieux et monuments
Vestiges du château ( donjon ).
Église Saint-Michel de Mallemort, fortifiée.
Le pont suspendu est un pont franchissant la Durance, inscrit aux monuments historiques ainsi que la maison du gardien adjacente (également sur la commune de Mallemort) (cadastre A 60). Il est inscrit par arrêté du 2 juin 1986.
Église Notre-Dame.
Le lavoir rue de la Fontaine.
La chapelle des Pénitents.
Héraldique
Les armes peuvent se blasonner ainsi :
De sable, à une tête de mort, d'argent, posée en cœur, soutenue de deux os du même, passés en sautoir et surmontée d'un vase d'or couché, en chef et une bordure d'argent, chargée du mot MALLEMORT en lettres de sable.
Le blason de Mallemort est le seul de France à avoir une tête de mort sur son blason.
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Toponymie
Charleval est une formation toponymique récente : les éléments Charle- et -val se réfèrent d'une part à Charles de Lorraine, prince de Lambesc et d'autre part à une petite vallée sur le territoire de la commune. Charles de Lorraine a érigé sa propriété en fief en 1598 avec ce nom, avant qu'une localité ne s'y développe au XVIIIe siècle.
Lieux et monuments
La fontaine César de Cadenet est une fontaine surmontée d'une colonne et du buste de César de Cadenet, aussi connu sous le nom de César de Charleval. Endommagée en 2009 par un camion, la fontaine est restaurée de février à mai 2011. Cette fontaine est installée le 22 décembre 1860. Elle est alimentée par la source de la Jacourelle. Elle est inaugurée le 29 août 1864. Sur le côté, une inscription se lit ainsi : Deus nobis hoec ohia fecit (« Dieu nous fit ce présent »).
La mairie édifiée en 1756
Le Château de César de Cadenet à Charleval. C'est un château privé. Il a été acheté par le grand-père de César de Cadenet. Son petit-fils le reprit de 1756 à 1763, puis décédera. Le château changera plusieurs fois de propriétaires. Il est de style renaissance. C'est un château privé, fermé au public.
Église Saint-Césaire de Charleval et son clocher surmonté d'un campanile.
Héraldique
Les armes peuvent se blasonner ainsi :
D'azur à un bœuf ailé d'or.
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Toponymie
Le nom de « Bonnières » viendrait de l'ancien français bonnier (ou bonier), désignant une mesure agraire dans le Nord de la France et en Belgique, qui équivalait à plus ou moins un hectare, avec de grande variations selon les régions.
D’un point de vue étymologique, toutes les hypothèses étant possibles, il est vraisemblable que Bonnières peut avoir été, à l’origine, un territoire dont la superficie s’étendait sur un tel bonnier.
Patrimoine architectural
Église Notre-Dame-de-la-Nativité
Ancienne chapelle de la sainte Vierge de Bonnières, elle a été consacrée le 4 janvier 1740. La construction en pierre et enduit blanc fut achevée le 2 janvier 1740, grâce notamment à des dons de l'évêque de Chartres et du duc de La Rochefoucauld. Le clocher carré couvert d'ardoises fut achevé en 1753. En 1763, un haut lambris fut apporté au chœur, qui fut orné en 1924 de peintures décoratives.
Arcades du château de Beuron
Il s'agit de vestiges de la façade du château de Beuron, qui fut construit sur le territoire actuel de la commune de Perdreauville et qui appartint à Sully. La municipalité a fait installer, en 1975, ces trois arcades dans le jardin public en face de l'église.
Propriété de Marcel Sembat et Georgette Agutte
Située dans un parc de 6 805 m2, a fait l'objet d'une acquisition par la municipalité qui souhaitait la restaurer et y installer des équipements culturels.
Sépulture en fosse de Bonnières-sur-Seine
Tombe datée du Néolithique découverte en mai 1950, classée monument historique depuis 1951 ; elle n'est pas ouverte au public mais accessible par l'intérieur du centre culturel Louis-Jouvet.
Tour carrée du Mesnil-Regnard (ruines)
Vestiges d'un édifice fortifié au sud-ouest de Bonnières à 105 m d'altitude.
Héraldique
Les armes de Bonnières-sur-Seine se blasonnent ainsi : d'azur à la fasce d'or, chargée de trois quintefeuilles de gueules, accompagnée de trois croisettes d'or.
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Toponymie
La localité est attestée sous les formes de villis de Herbertis en 1195, de Herbetas en 1292, de Herbertis en 1354.
Comme le montrent la plupart des formes anciennes, il s'agit en réalité du nom de personne germanique Herbertus pris absolument. Il se perpétue dans les noms de famille Herbert, Hébert, jadis fréquemment utilisés au Moyen Âge comme prénoms. L'apparition de l'article "les" est tardive et l'altération du second élément -berts en -biers est sans doute liée à l'étymologie populaire herbiers. Elle est motivée par la ressemblance phonétique entre le mot Herbert et le mot herbier, ainsi que le lien apparent qui existe avec l'environnement géographique. En effet les marécages et les zones humides sont très répandus dans la région. On sait qu'un ancien lac ou marécage existait par le passé entre Les Herbiers et le Petit-Bourg. D'ailleurs, une grande partie de ces zones humides de la zone des Herbiers ont disparu grâce à la construction de petits barrages et donc d'étangs. Les moines de l'abbaye de la Grainetière, au sud de la ville, en sont à l'origine afin de cultiver les terres.
Lieux et monuments
Patrimoine militaire
Le château des Herbiers : encore appelé château Bousseau (du nom de ses anciens propriétaires) : forteresse du XIVe siècle
Le château d'Ardelay : fortification du début du XVe siècle sur motte féodale primitive
Le manoir du Bignon (XVIe siècle)
Le château de Boistissandeau : château Renaissance (fin XVIe siècle), et son jardin à la française classé
Le château de l'Etenduère : ruines romantiques du XVIIe siècle
Le château du Landreau : parc et vestiges du XVIIe siècle.
Patrimoine religieux
L'église Notre-Dame-de-l'Immaculée-Conception du Petit-Bourg-des-Herbiers
.
L'église Saint-Pierre.
L'église Saint-Sauveur d'Ardelay. L'église est, par l'arrêté 2010-927 du maire des Herbiers, fermée au public, et ne sera rouverte « qu'après confortation.
L'abbaye Notre-Dame de la Grainetière : abbaye bénédictine du XIIe siècle.
Chapelle du Mont des Alouettes.
Patrimoine civil
Le mont des Alouettes et ses célèbres moulins utilisés comme moyen de communication pendant les Guerres de Vendée.
Le Chemin de Fer de la Vendée.
Le Lavoir : établissement de bains publics (milieu XIXe siècle)
Héraldique
De gueules aux trois fasces d'or.
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Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Bernerias et de Berneres en 1063.
Albert Dauzat, ainsi qu'Ernest Nègre, considèrent que ce toponyme est issu l'anthroponyme Bernier.
René Lepelley y décèle quant à lui le gaulois *brenno, « terrain humide ». L'existence d'un lieu-dit le Marais étaye cette hypothèse. Vraisemblablement en rapport avec l'ancien français berne ou baherne, atelier pour la fabrication du sel par évaporation », d'où bernerie latinisé en bernaria.
Histoire
Bernières est un ancien port du royaume de France.
En juin 1944, lors du débarquement allié en Normandie, la plage de Bernières-sur-Mer est le secteur Nan de Juno Beach, seconde plage la mieux fortifiée après Omaha Beach. Le général allemand Friedrich-Wilhelm Richter commande la 716e division gardant la région avec onze canons de 155 mm et neuf de 75 mm. La prise de ce secteur est assignée à la 3e Division d'infanterie canadienne commandée par le major-général Rodney Keller (décédé en 1954 lors d'une visite en Normandie).
Le 6 juin 1944, jour J, avec le commando Kieffer le Régiment de la Chaudière est la seule unité francophone à participer aux opérations à terre du débarquement. Commandé par le lieutenant Paul Mathieu de Québec, ce régiment de Canadiens français débarque à Bernières-sur-Mer après les Queen's Own Rifles of Canada et surprend la population locale qui ne s'attendait pas à rencontrer des troupes parlant le français. À la fin de la journée suivante, les forces canadiennes, 21 500 hommes (sans compter les pertes), font leur jonction avec les forces britanniques qui ont pris Sword Beach. Les pertes canadiennes (morts, blessés, disparus) sont d'environ un millier de combattants.
Lieux et monuments
L'église Notre-Dame-de-la-Nativité (XIIe - XIVe siècles) qui fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840. Le retable, haut d'environ 7 m, est l'un des plus grands du Calvados. Il a été élevé aux alentours de l'an 1660. Le clocher, haut de 67 m, pouvait servir d'amer aux bateaux.
Voir C.P. de Philou.
Le manoir de la Luzerne, du XVe siècle, qui fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 22 décembre 1998.
Le château de Quintefeuille (XVIIIe siècle).
Le château de Semilly (XVIIe siècle) qui fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 16 septembre 1937.
La gare de Bernières.
La plage de Juno Beach.
Héraldique
D'azur au voilier contourné d'argent, sur des ondes du même, surmonté de trois croisettes d'or.
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- Philou 33
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Penthièvre, placé à l'entrée de la presqu'île de Quiberon en commande l'accès au niveau de l'isthme, très étroit à cet endroit.
Connu principalement pour son fort situé sur la commune de Saint-Pierre-Quiberon dans le Morbihan.
Historique
À la suite du siège de Lorient et du pillage de la presqu'île de Quiberon en 1746, la construction d'un nouvel ouvrage défensif est décidée en 1747 dans un cadre plus global de renforcement des défenses du littoral sud de Bretagne (le Fort-Bloqué et le fort Cigogne en feront également partie). Suivant les projets de M. de Marolles, la construction d'un ouvrage fermant la route de la presqu'île est entreprise par le gouverneur de Bretagne de l'époque, Louis Jean Marie de Bourbon, duc de Penthièvre, qui lui donnera son nom. Le fort est bâti sur un escarpement (La Palice) à l'endroit le plus étroit de la presqu'île.
Révolution française
En 1795, les royalistes débarqués sur la presqu'île assiègent dès le 27 juin le fort, renommé fort Sans-Culotte, qui finit par tomber après quatre jours, ses défenseurs étant à court de vivres. Quatre cents d'entre eux (sur les 700 que le fort comptait) acceptent alors de s'enrôler dans l'armée catholique et royale. Signalant la fin de l'expédition, celui-ci sera repris par les troupes du général Hoche. Pendant quelques années, il sera laissé en déshérence. En 1800, sous l'impulsion du Premier Consul et d'Armand de Marescot, le fort est renforcé et modernisé alors que la France vient de vaincre la Deuxième Coalition. Les améliorations vont continuer pendant toute la première moitié du XIXe siècle, donnant à l'édifice son allure actuelle, qui s'inspire des ouvrages défensifs de Vauban au siècle précédent1. En 1917, le fort sert de prison aux prisonniers allemands de la Première Guerre mondiale.
Le 3e régiment d'infanterie de marine de Vannes s'en sert de base d'entraînement depuis 1969.
L'isthme de Quiberon vu depuis le fort de Penthièvre.
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j'avais oublié mais c'est vrai que "charente inférieure" n'était pas très heureux comme nom de département!
lamenuis
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Toponymie
Le mot « matha » désignait une forêt ou un buisson en langage pré-gaulois : " Ainsi, Matha viendrait de la période celtique et signifierait "broussailles". Ce toponyme trouve un certain écho en langue tudesque, où matha s'assimile à « mast », afférant à la chasse au trait. La région de Matha était en effet, dès le premier millénaire de l'ère chrétienne, couverte de forêts giboyeuses où les seigneurs de l'époque carolingienne - et, selon une légende persistante, l'empereur Charlemagne lui-même - venaient chasser le sanglier.
Selon d’autres étymologistes, Matha vient du mot celtique « mat », qui signifie élévation, motte, éminence - ce qui est contestable car cette toponymie ne s'applique pas sur le territoire de Matha.
Moyen Âge
C'est en 866 qu'un château est édifié par Vulgrin Ier, comte d’Angoulême, pour arrêter les Vikings.
Édifices civils
La ville est connue pour son château Renaissance, le Château de Matha, dont seul subsiste le châtelet d'entrée (XVIème siècle) situé dans le parc. Le chemin de ronde et la charpente ont été reconstruits au XIXe siècle. Propriété de la commune, il est classé monument historique en 1952.
Le châtelet d'entrée de l'ancien château de Matha
Le Pigeonnier de Geffrou (Joffrou) du XVIIème siècle
Ce pigeonnier du XVIème siècle accompagnait un moulin et un lavoir dans le domaine du moulin de Joffroux au sud de Matha sur l’Antenne.
On le retrouve sur cette carte postale ancienne.
Patrimoine religieux
La ville dispose de trois édifices religieux dignes d'intérêt autant pour leur architecture que pour leur riche histoire.
Les églises catholiques
L'église Saint-Hérie du XIIe siècle présente une belle façade-écran romane malheureusement brisée.
L'église Saint-Pierre de Marestay est également romane du XIIème siècle. De cet édifice ne subsistent que le chœur, transept et le premier étage du clocher.
Le temple protestant incorpore dans sa structure les vestiges d'une chapelle romane dont l'origine est inconnue à ce jour. Il s'agit cependant d'un édifice reconstruit dans le premier tiers du XIXe siècle comme la plupart des églises réformées du département de la Charente-Maritime.
Héraldique
Blasonnement :
De gueules aux deux pattes antérieures de griffon d’or posées en barre et rangées en pal.
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- Philou 33
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Monistrol-sur-Loire (Monistròl de Leir en occitan) est une commune française du département de la Haute-Loire. Elle est la seconde ville du Velay et la deuxième agglomération du département.
Située sur l'axe de Lyon à Toulouse par le Massif central, dominant la vallée de la Loire, elle appartient à la communauté de communes Marches du Velay-Rochebaron. Elle a connu une forte expansion depuis les dernières décennies du XXè siècle.
Toponymie
Le nom de Monistrol provient du latin Monasteriolum, Monastrolium. Sur l'origine du nom, Géraud Lavergne indique que « monasteriolum désigne à l'époque carolingienne un cœnobiolum, un petit monastère, l'obédience d'une abbaye plus importante. Ce nom n'est pas moins répandu en toponymie que monasterium. La forme du latin vulgaire, monisteriolum, dans lequel l'accent a été avancé sur l' o ouvert du suffixe, est commune à la France du Midi, du Centre et de l'Est. On la trouve fixée dans Ménestérol (Dordogne), autrefois Monesterol. L'affaiblissement de la semitonique en e et l'élision du second e atone au XIIIe siècle a amené une série de formes dans lesquelles la tonique reste o, se diphtongue en -ue, eu (réduit à u), ou passe à -au : Monistrol (Haute-Loire), Monestrol (Aude, Haute-Garonne), Menétrol (Puy-de-Dôme), Menétréol (Cher), Menetréols (Indre), Menetreuil (Saône-et-Loire), Menestruel (Ain), Menetreux (Côte-d'Or), Menetru (Jura), Menestreau (Loiret, Nièvre) et Menétreau (Cher, Nièvre) ».
Lieux et monuments
Dominant la vieille ville et le ruisseau de Piat, le Château des Évêques-du-Puy est le principal monument de la commune. Construit du XIIIe au XVIIIe siècle, il sert de résidence aux évêques du Puy jusqu'à la Révolution. Il abrite aujourd'hui l'Office de tourisme, l'association de Amis du Château et la Société d'histoire de Monistrol avec des salles d'exposition.
Le château de Martinas construit aux XVIIIè et XIXè siècles, est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 19 mai 2003.
L'église ou Collégiale Saint-Marcellin, est située dans le centre historique de Monistrol-sur-Loire, elle date du XIIe siècle, elle a connu sa dernière restauration en 2012.
Le Donjon, ancien corps de garde de la porte de l'Arbret, est un des derniers vestiges du mur de ville, chargé de protéger certains quartiers comme celui du Château.
Héraldique
Les armes de Monistrol (en bas) déclinent celles du Velay (en haut) avec quelques différences : les engrelures disparaissent, l'épée est en pal mais non soutenue. Le fond est d'azur et non de gueules. À travers les symboles de la crosse et de l'épée, elles rappellent le double pouvoir, spirituel et temporel, du seigneur de Monistrol.
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Toponymie
La ville de Rethel est nommé Ruthel en ardennais, un dialecte septentrional du champenois.
Selon une légende, sa fondation serait due à Jules César qui y aurait établi son camp. Mais c’est avant tout un gué, dû au ralentissement en ce lieu de l’Aisne la ville existe de ce fait. On lit dans la vie de saint Arnoul, évêque de Metz, que Cyriaque, son père, et Quintienne, sa mère, donnèrent à saint Remi, évêque de Reims, tout ce qu'ils possédaient in villa Reistete, pour obtenir du ciel un fils de ses prières.
La petite cité appartient ensuite à l'abbaye de Saint-Remi de Reims et est administré par des avoués. L'un d'eux, Manassès Ier, s'intitule comte de Rethel.
Lieux et monuments
Église Saint-Nicolas de Rethel, place Anatole France
Du vieux Rethel, le plus spectaculaire témoin reste la belle église Saint-Nicolas (XIIe et XIVe siècles).
L'église Saint-Rémi, avenue Gambetta, début des années 60.
L'église Saint-Pierre, Grande Rue à Pargny-Resson.
La chapelle de l'hôpital, place Hourtoule.
Les deux portes du château Mazarin.
Le belvédère.
La croix d'Ardalu.
L'hôtel de ville.
La gare, dont le bâtiment date de 1858.
Voir C.P. Philou
Woinic, un énorme sanglier de fer de 8,5 mètres de haut situé à 15 km au nord de Rethel sur la sortie Faissault et Saulces-Monclin, sur l'autoroute A34. La structure en tiges d'acier est couverte de milliers de petites plaques soudées une à une. L’œuvre mesure 8,5 m de haut, 5 m de large et 14 m de long pour un poids de 50 tonnes. Elle a nécessité 11 ans de travail....
Héraldique
De gueules à trois têtes de râteaux d'or posés 2 et 1.
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Toponymie
Du latin longus + vicus : « village allongé ».
Anciennes mentions : Loncwich et Longwich (633), Longwi et Longvy (1096), Longwy (1173), Longvic (1276), Lonwic (1290), Lonwis (1323), Lonwy (XVe siècle), Loncvil (1535), Lonvy (1539), Longuy (1573), Longuvy et Lougwuy (1674), Longouy (1681), Lonwic (1756), Longwi Haut et Bas (1793).
Longkech et Lonkech en luxembourgeois, Langich et Langwich en allemand.
Formation de la ville
D'après l'Histoire de Verdun de M. Clouet, on attribue la fondation de Longwy au duc Martin, seigneur austrasien qui fut assassiné par Ébroïn en 680.
Les premières traces de population sont l'existence d’un camp romain sur la hauteur du Titelberg, puis d’un château fort, Loncastre, centre d’un comté au VIIe siècle.
Au IXe siècle, un bourg fortifié se développa, puis au XIIe siècle apparut la ville basse, dite Neuveville.
Patrimoine architectural
Fortifications de Longwy
Construites de 1679 à 1690, la première pierre étant posée en 1680, sous l’angle du bastion 1, dit du Faubourg.
Autres bâtiments
Puits de l’ancienne place d’armes construit à la fin du XVIIe siècle en même temps que la place forte, doté à l’origine d’un système à cage d’écureuil remplacé en 1857 par une pompe à vapeur, puis en 1872 par un système à piston plongeant. Abandonné en 1908-1909, au moment de l’adduction d’eau, il a remarquablement résisté aux bombardements de 1914 et reste le seul existant des cinq puits de la place. Il est classé au titre des monuments historiques par arrêté du 2 septembre 1921.
Château fort, probablement du XIe siècle, passé à la fin du XIIe siècle des terres du comte de Bar dans celles du duc de Lorraine, à nouveau passé dans les possessions barroises en 1292 (où il restera jusqu’à sa destruction) et constituant la place forte la plus septentrionale des terres du duc de Bar.
Ancien hôtel de ville construit de 1731 (date portée par le cartouche placé au-dessus de la porte d’entrée) à 1746. Gros-œuvre terminé en 1737, les grilles en fer forgé des trois grandes baies du premier niveau, fournies en 1746 marquant l’achèvement de la construction.
Patrimoine religieux
Nombreux édifices :
Église paroissiale de la Sainte-Trinité. Église construite en 1855-1856 aux frais de madame Margaine, sur un terrain acquis par ses soins.
Chapelle Notre-Dame-du-Mont-Carmel dite chapelle Margaine, ancienne église paroissiale de la Trinité, construite dans la ville basse par autorisation du 23 mai 1529 du duc Antoine de Lorraine et de Bar.
Église paroissiale Saint-Jules à Gouraincourt. Église de style néo-roman construite de 1911 à 1913, aux frais de la commune, de la société des Aciéries de Longwy et des hauts fourneaux de la Chiers, la première pierre ayant été posée en juin 1911 et l’édifice bénit en 1913.
Chapelle Saint-Louis, annexe de l’église de Longwy-Bas, élevée en 1909-1910 dans le quartier populeux de Saint-Louis, sur un terrain offert par le baron Fernand d’Huart, grâce aux libéralités des paroissiens de Longwy-Bas.
Couvent de Carmes (détruit), premier couvent de carmes établi dès 1501 dans la ville haute, avec l’autorisation du duc de Lorraine, totalement ruiné en 1636, lors de l’entrée des impériaux à Longwy, abandonné dans les années 1655-1660 au profit d’un nouveau couvent proche de la ville basse.
Couvent de Sœurs de la Congrégation de Notre-Dame (détruit), premier couvent des religieuses de la congrégation Notre-Dame fondé en 1628, par Pierre de La Mouillye, receveur de Longwy, et établi à la ville haute, dans une maison appartenant à celui-ci, située dans l’enceinte du château.
Couvent de Sœurs de la Congrégation de Notre-Dame-de-la-Miséricorde, deuxième couvent des religieuses de la congrégation Notre-Dame transféré en 1683 ou 1684 dans la ville basse à la suite de la destruction du château et de ses fortifications en 1672 et installé dans une maison qu’elles firent aussitôt construire à côté de la chapelle Notre-Dame-de-la-Miséricorde qui leur avait été concédée.
Chapelle Saint-Louis, construite entre 1909-1910 de style gothique située rue de la chapelle, détruite en 2009.
Chapelle Margaine, rue De Lattre ancien asile, construite entre 1866-1868.
Église néo-apostolique rue de Metz.
Église Mennonite.
Héraldique
D'azur, à deux barbeaux adossés d'or, accompagnés de quatre croix pommetées au pied fiché d'argent.
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Re: Cartes postales
Le Louroux-Béconnais est une ancienne commune française, depuis le 15 décembre 2016, elle appartient à la commune nouvelle de Val d'Erdre-Auxence dont elle est devenue une commune déléguée.
Histoire
Le Bienheureux Noël Pinot fut curé du Louroux-Béconnais de 1788 à 1794. C'est un prêtre réfractaire qui fut arrêté dans la ferme de la Milandrie au sud du bourg puis guillotiné à Angers dans ses habits sacerdotaux. Béatifié en 1926 par Pie Xl, il est vénéré au Louroux et la paroisse porte son nom ainsi que la rue du centre-bourg qui la borde et qui bordait il y a quelques années encore, son presbytère.
En décembre 2016, les trois communes de La Cornuaille, Le Louroux-Béconnais et Villemoisan se regroupent pour former la commune nouvelle de Val d'Erdre-Auxence.
Lieux et monuments
Cette ancienne abbaye cistercienne fut aussi le lieu d’épisodes épiques de la Révolution. C’est là que Scepeaux y réunit les autres chefs chouans des districts de l’Ouest pour discuter des clauses du traité de paix signé par les Républicains en avril 1795.
L'abbaye date du XVIIe siècle. L’ermite Clément construisit une chapelle qu’il offrit à l’abbaye cistercienne du Louroux en Vernantes. L’abbaye et ses cloîtres à colonnes, précédés de cours, jardins et étang, furent démolis en 1852. Seuls deux corps de bâtiments parallèles, le moulin à eau et le logis du prieuré, subsistent à l’édifice.
Les sept châteaux
Le Chillon
Ce domaine, situé au sud-ouest de la commune, était depuis le XIIe siècle un prieuré bénédictin fondé par l'abbaye Saint-Aubin d'Angers. Vendu nationalement en 1791, le prieuré fut détruit au milieu du XIXè siècle mais le site vit la construction d'un château dans la 1ère moitié du XIXè.
La Mornais
Situé à l'ouest du bourg, la Mornais, châtelet élégant avec échauguette et balcons en ferronnerie, était autrefois la propriété des seigneurs de Bescon et de la Picoulaie. Modifié par Jean Boré en 1777, il devient le domaine de la famille Bouvier puis de Valentin Huault-Dupuy, graveur et maire du Louroux-Béconnais, à la fin du XIXe siècle par son mariage avec Mlle Bouvier. Château qui est toujours la propriété de la famille Huault-Dupuy.
Le Pey
Élevé au milieu du XIXe siècle, ce château aux allures de grande maison bourgeoise situé non loin de l'entrée est du bourg, près de la route d'Angers, passa entre plusieurs propriétaires avant de devenir un centre éducatif (Maison Familiale Rurale) de 1960 à 2005.
Piard
Ce logis, constitué de deux ailes perpendiculaires reliées par un étroit corps central, est situé au sud de la commune, sur la route de Villemoisan non loin de l'étang du même nom. Issu d'un ancien fief du XIIe siècle ayant appartenu aux seigneurs de Bécon, le château de Piard devint la propriété du plusieurs grandes familles qui se sont succédé en ces lieux du XVe à la Révolution. Le château actuel daterait de la fin du XIXe siècle.
La Prévôterie
Cet élégant château, doté d'un vaste perron, d'encadrements à corniches et de chiens assis sculptés avec cheminées qui peuvent rappeler Chambord, est situé à l'est de la commune, près de la route de la Pouëze. Depuis le début du XVIe siècle, il fut la propriété de nombreuses familles avant d'être ruiné par un incendie en 1782. Reconstruit en édifice classique de style Louis XVI, il devint à partir de 1820 le domaine de la famille de Cumont. Vernoux
Situé à l'extrême sud-est de la commune, Vernoux est un château imposant par la complexité de ses façades (avec deux tourelles carrées qui cassent l'impression de masse) et de ses toitures. Le château actuel est le fruit d'une reconstruction de la fin du XIXè puisque la précédente demeure aurait été rasée vers 1850… La Violaye
Ce château, surplombé d'un clocheton et de deux tours d'angles octogonales, domine un parc à l'anglaise sur la route de Vern d'Anjou au nord du bourg. Il existait déjà au début du XVIè et c'est vers 1650 qu'il devint la propriété de la famille Lair dont l'un des descendants devint un officier remarqué de la Grande Armée napoléonienne.
Les moulins à vent
Sur la commune du Louroux-Béconnais, on dénombre l'existence d'au moins huit moulins à vent et de quelques moulins à eau qui auraient existé pour la plupart entre le XVIIIe et le XIXe siècle. Ils ont en grande majorité disparu à part les Moulins Salés et le Moulin Bernier qui n'ont pu, cependant, conservé leurs ailes.
Les Moulins Salés
C'est un ensemble imposant aujourd'hui constitué d'un moulin à vent isolé avec toiture mais ayant perdu ses ailes (moulin Ouest), d'une minoterie accolée à une tour (ancien moulin à vent est, sans toiture) et de plusieurs silos. Le toponyme des Moulins Salés existait déjà au début du XVIIIè siècle alors que les moulins actuels n'étaient pas construits.
Les Moulins Bernier
Il reste, à l'ouest du bourg du Louroux, une tour d'ancien moulin à vent sans toiture. À la fin du XVIIIe, il existait deux moulins Bernier exploités par les quatre frères Gélineau, dont l'un fut construit vers 1790, le Moulin Neuf, par opposition au Vieux Moulin Bernier qui fut détruit en 1860 puis reconstruit par Isidore Faucheux vers 1863, il aurait cessé son activité au tournant du XXe siècle.
Le Moulin de la Haie
Moulin disparu qui se situait au sud-ouest du bourg. C'était sans doute un moulin tour, construit à la fin du XVIIIe siècle, exploité par Julien Robin et Pierre Tudou en 1786. Ayant cessé son activité vers 1850, il aurait été détruit en 1871.
Le Moulin de Piard
Au sud du bourg près de la ferme et du château de Piard, existaient deux moulins appartenant aux seigneurs de Piard : un moulin à eau et un moulin à vent construit dans la première moitié du XVIIIè siècle. Ce dernier, aurait été détruit en 1866.
Le Moulin de la Faverie
Construit au tournant des XVIIIe et XIXè siècles, ce moulin tour a appartenu à Mathurin Richard dans les années 1830 puis à Louis Robin vers 1860. Il fut sans doute détruit au début du XXe siècle (au sud-ouest du Louroux-Béconnais).
Le Moulin des Grées
Moulin à vent disparu, construit en 1850 à l'extrême nord de la commune pour le sieur Robin et détruit probablement au XXe siècle.
Le Moulin de la Voisinais
Moulin à tan qui existait près de ce lieu-dit (au nord du bourg) au milieu du XVIè siècle.
Le Moulin de la Planchette
Situé à l'est du Louroux-Béconnais, près du lieu-dit de la Haute-Marinière, ce moulin à vent était exploité par Jean Pauvert en 1575. Il aurait été détruit au XVIIè siècle ou dans la 1ère moitié du XVIIIe siècle.
L’église Saint-Aubin
Du fait de l’incendie de l’église Saint Aubin du Louroux Béconnais par les chouans en 1794 qui y donnèrent l’assaut pour déloger les Républicains, la construction d’une nouvelle église fut envisagée. Le projet d’envergure, visant à pouvoir accueillir plus d’un millier de fidèles, fut confié à l’architecte angevin Dussouchay. Les travaux de reconstruction débutèrent en 1860. Inaugurée partiellement en 1863, l’église fut consacrée le 30 septembre 1867. Les vitraux de l’Eglise St-Aubin, commencés en 1860, évoquent la Révolution Française en relatant l’histoire de Noël PINOT, prêtre réfractaire de la paroisse. Il est jugé et exécuté en 1794.
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Ancien hameau de Tassin-la-Demi-Lune, la commune fut créée en 1790, après la découverte de la source ferrugineuse qui lui apporta sa notoriété et son épithète « les-Bains » en 1897.
Toponymie
Carbonariae, ancienne bourgade, était habitée par des exploitants des nombreuses forêts, ils fabriquaient du charbon de bois. Le nom du village lui-même constitue le meilleur témoignage de son histoire. Il est en effet aisé de voir qu'il fut fondé autour d'anciennes charbonnières ou charbonneries. Le terme désignait au Moyen Âge la clairière d'une forêt (que l'on avait parfois défrichée) où des ouvriers fabriquaient du charbon de bois. Celui-ci était utilisé pour le chauffage et l'alimentation en combustible des forges et des fonderies de fer; les cendres servaient à la fabrication du verre ou au lavage des tissus.
Si le nom de la commune en est issu, de ce passé, les traces en ont disparu.
Héraldique
D’azur à l’arbre de sinople sur une terrasse herbée du même, senestré d’un rocher au naturel mouvant du flanc, à la source d’argent jaillissant du rocher et coulant en barre sur la terrasse; au chef parti d’or et de gueules.
Lieux et monuments
L'établissement thermal, aujourd'hui détruit, (site transformé en hôtel), proche du casino.
La stèle en mémoire de l'abbé Marsonnat, qui découvrit la source.
Le parc de la Bressonnière
Le bâtiment de la gare SNCF, construit par la Compagnie des Dombes et des chemins de fer du Sud-Est en 1875, dont la famille Mangini était administrateur et fondatrice.
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Sur les deuxième et troisième CP, il n'y a que les piétons qui changent
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Et tu as vu, il y avait déjà une Renault avec le capot levé !!
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